Et voici la fin de la
liste par ce beau jour d'été au printemps.
Un potager auquel je pourrai raconter des histoires ! (c'est essentiel pour bien grandir ça, les histoires)
Et il se peut que cette envie se réalise d'ici quelques mois ^^ !
La compagnie de mes chats. Ils étaient vraiment supers ces deux-là.
J'ai besoin de nature ! Y a des moments où ça devient vraiment vital pour mon moral. Heureusement, comme pour le potager, je vais m'en rapprocher sous peu !
C'est rigolo parce que quand j'ai lu les points 21-22 et 23, je me suis dit "mais ça veut dire la même chose !" Ce que je veux/qui me manque/que j'ai besoin. Et en fait pas du tout. On a souvent tendance à mélanger les trois, surtout aujourd'hui où on peut se procurer beaucoup de choses rapidement.
Alors, on a évidement tous des besoins différents mais, parfois je suis quand même effarée par ce que certaines personnes disent "avoir besoin". Je crois que la plupart confondent souvent le besoin avec l'envie (moi y compris) et que se poser la question de tant en tant ne ferait pas de mal.
"Un couple amoureux ou non ? Si oui, hétéro ou homo ? Humain ou animal ? Vieux ou jeune ?"
Trop de possibilités alors j'ai choisi ça, même si ça peut paraitre glauque au premier abord. A part un symbole religieux, aucune autres indications. Peut-être qu'ils se détestaient ou alors qu'ils ne se connaissaient même pas. Au contraire, peut-être que c'est un petit couple qui s'est aimé toute la vie et qui s'aime encore. Peut-être que ce sont mes chats.
Haha. J'avais pas très envie de le faire celui-là...
Mais bon, je voulais pas vous faire croire que je me foutais de vous alors j'ai fait celui-ci aussi.
Gus me dit "c'est pas vraiment un paysage ça."
Moi j'dis "c'est un super paysage pour fourmis oui !"
On est en train de regarder l'intégrale des documentaires "Planète terre" (que je vous conseille vivement si vous n'avez plus foi en la vie, et même si vous l'avez, je vous le conseille) et il y a au moins 10 paysages de fou à la minute.
Je ne fais pas le poids alors je la ramène pas c'est tout.
Je n'aime pas penser à tout ce qu'on a foutu en l'air, tout ce qu'on ne récupèrera plus jamais et qui continue d'être englouti à chaque seconde qui passe.
Quand je commence, je suis vite atteinte par la panique, la peur et l'urgence.
Je ne peux pas ne pas y penser, car ce serait irresponsable maintenant que je suis au courant.
Mais aussi parce que ça me motive à essayer de changer les choses à mon échelle, à en parler avec les gens, à transmettre par le biais de mon métier ce que j'ai appris . A me sentir utile quoi.
Là quand je vous écris ça, à cette seconde précise, je me sens utile.
Celle-là, elle est pas difficile ^^
Ça rejoins la 26.
J'aimerais qu'il n'y ai pas deux réalités : la vraie, celle où notre planète se tarit peu à peu et où la majorité des êtres humains en paient le prix. Et la fausse dont on nous gave par tous les médias possibles et parfois même, sans mauvaises intentions, par notre éducation.
On détourne constamment notre attention à coup de nouveautés et de rêves préfabriqués et c'est vraiment très très dur de lutter contre ça chez nous.
Le problème c'est qu'à un moment, il ne restera plus qu'une seule réalité et malheureusement ce ne sera pas la plus drôle.
J'ai beau gerbé sur l'excès de publicités et d'encouragements à la consommation, je préfèrerais nettement rester à ce système qu'assister à la fin de l'espèce humaine.
Donc pour ça, changeons nos objectifs, nos produits et notre façon de concevoir le monde !
Sans transition
Notre futur chez-nous ! Pas tout à fait à en pleine campagne, pas tout à fait en pleine ville. J'ai hâte d'y être, vivement le 1er mai !
Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Et maintenant, allons manger du gâteau !